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La crise sanitaire du Covid 19, a eu un impact considérable dans le monde professionnel, et ce, à l’échelle mondiale. La profession de diagnostiqueur immobilier n’a pas été épargnée. Après le coup d’arrêt imposé par le confinement, la reprise de l’activité a été encadrée, comme pour toutes les professions, par des mesures spécifiques. On peut dire qu’il y a un avant et un après Covid 19.
La mise en place de protocoles sanitaires, a, ainsi, nécessité l’adaptation des méthodes de travail des diagnostiqueurs. Le respect des mesures sanitaires, est désormais bien admis par l’ensemble de la population. Il s’applique dans la vie courante, aussi bien en milieu professionnel que dans la sphère quotidienne. Il s’agit d’appliquer des gestes barrières, dans les lieux clos et partagés. Le geste qui consiste à saluer en serrant la main, a été remis en cause, du fait du risque de transmission du virus. Ceux qui ne veulent pas se contenter d’un salut verbal, peuvent toquer du poing ou du coude. Il est toujours possible de sourire, mais désormais ce rictus, sincère ou affecté, se dissimule derrière un masque. Enfin, il faut limiter les contacts et rester à distance, en appliquant une distance sociale comprise entre 1 et 2 mètres.
La Fédération interprofessionnelle du diagnostic immobilier (FIDI), une association des professionnels du secteur, a émis des préconisations spécifiques à suivre. Il s’agit pour les diagnostiqueurs, de porter un masque et des gants à usage unique, pour les visites effectuées dans des locaux vides. Et concernant les locaux occupés, l’association recommande de changer les gants à usage unique plus fréquemment (si la visite dure plus d’une heure), en plus d’utiliser un écran facial et des sur-chaussures. Il va sans dire, que l’utilisation du gel hydroalcoolique, se fait avant et après l’intervention.
En somme, les mesures et les protocoles sanitaires, imposés par la loi, changent en fonction de l’évolution du virus. Pour l’heure, il convient de conserver un niveau de vigilance maintenu.